Chers Mesdames et Messieurs,


Nous-avons été tous secoués par l’événement qui a eu lieu durant le weekend.

Nous sommes très surpris de voir qu’un tel événement s’est déroulé en France qui est considéré comme un pays où règne la paix et où les gens sont très affectueux et remplis de tendresse.

Nous nous réunissons aujourd’hui dans notre Atelier et nous allons prier pour toutes les familles qui ont été touchées par cet événement.

Nous souhaitons que tout le monde reprenne un quotidien normal et retrouve la paix et le calme dans leur esprit.

Toutes les brodeuses, ainsi que les membres de l’atelier, se joignent à nous pour exprimer leurs sincères condoléances et nous restons en ce moment avec vous unis par la pensée.

Avec notre profond regret.

Les membres du Comité Directeur de l'Atelier

 

Cher Monsieur Le Président

Chers amis

 

Les membres du Comité, les brodeuses et tout le Personnel Administratif vous adressent leurs sincères félicitations pour le 45 ème Anniversaire de notre Association à Paris.

Nous formons nos bons vœux pour la longévité de notre Association. Nous prions Le Seigneur pour qu’il accorde sa grâce pour bon fonctionnement de l’Atelier au Fils d’Indra de Paris.

Nous saisissons, une fais plus cette occasion pour présenter notre profonde gratitude et notre sincère reconnaissance à tous les bénévoles, les donateurs, les responsables des expos, les membres de notre Association pour les indéniable services qu’ils nous rendent.

En cet heureux jour, nous pensées vont vers nos fondatrices, nos prédé-cerseures, nos amis, nos bien faiteurs qui nous ont rendu de précieux services. Nous sommes sûrs que, du Haut du Ciel, ils nous enverront leur bénédiction.

Nous prions, cher Monsieur Le Président et chers amis, de bien vouloir agréer l’expression de mes sentiments respectueux reconnaissants et dévoués.

E. GERARD

Directeur et Secrétaire Général de l’Atelier au Fils d’Indra

Pondichéry.

L’Assemblée Générale de notre association s’est réunie le 30 mai dernier dès 15 heures.

Cette année elle fut accueillie très sympathiquement par la Direction du lycée Bossuet Notre Dame entre république et le canal St Martin. En effet les salles habituelles de la paroisse St Nicolas des 15-20 en face de notre local rue Travesrsière étaient indisponibles pour nous ce jour là.

Nous fûmes environ 60 membres présents, beaucoup venus de provinces parfois plutôt éloignées. Avec plus de 110 pouvoirs transmis, le quorum était largement atteint pour valider la tenue de cette Assemblée Générale.

Elle s’est parfaitement déroulée, donnant quitus au Conseil d’Administration pour sa gestion et ses projets, élisant un nouveau candidat au CA, Jacques Vaisson d’Albi, et réélisant 4 des membres arrivés en fin de mandant : Marie-France et Pierre Lemaitre, Bénédicte Simonin et Dominique Ulrich. Merci aux électeurs pour leur confiance et bravo aux élus.

Le 4 juin lors du premier Conseil d’Administration suivant l’AG, le bureau du nouveau CA a été réélu.

Cependant cette Assemblée Générale dite ordinaire (AGO) était bien une manifestation exceptionnelle, toutes proportions gardées.

Outre les 45 ans de vie de l’Atelier que nous-nous devions de fêter, Marie-Rose Carlié, la dernière des 4 créateurs de cette belle action, venait elle-aussi de nous quitter pour les cieux. Ce fut donc à l’issue de l’AG « statutaire » un long moment de souvenirs et de références sur cette femme extraordinaire.

Pierre Lemaitre
L'intervention de Pierre Lemaitre à l'AG

Après un  très beau texte de Pierre Lemaitre, ce fut une suite de témoignages animés et relancés au sein de l’assistance par François Casimir, ce fils spirituel de Marie-Rose en charge de l’Association officiellement depuis 25 ans mais, dans les faits, depuis bien plus longtemps. Les témoignages des uns et des autres furent très émouvants, éclairant souvent la vision de chacun sur les différentes facettes de la personne, certaines presque surréalistes mais toutes marquées par l’altruisme, l’amour et l’amitié.

Une surprise nous attendait en la venue du comédien Philippe Bertin que Dominique Ulrich venait de rencontrer fortuitement à la section théâtre de Saint Maur. Il a connu le couple Fournier, Marie-Rose et Louis, et fut partenaire de Marie-Rose à plusieurs occasions, parfois avec Jean Négroni, lors de récitals de poésie ou d’illustration de disques. Philippe ignorait tout de la « seconde vie » de Marie-Rose et fut suffoqué d’entendre tout ce qui fut évoqué sur elle et aussi de découvrir, ce soir là, l’action extraordinaire « Atelier au Fils d’Indra ».

En retour, son témoignage nous a éclairés d’avantage, s’il en était besoin, sur la qualité de la personne, cette fois dans le domaine de la comédie. Il avait été frappé par sa voix si cristalline et si particulière qui se mariait si bien avec celle, tout aussi atypique, de Jean Négroni. Il évoqua son art accompli à dire, par exemple, les fables de La Fontaine en les mimant et les rendant si perceptibles à de jeunes enfants subjugués devant elle, ce qui pourtant aujourd’hui n’est pas si facile compte tenu les évolutions du langage et des pôles d’attractions… Il dit aussi ce talent sûr qu’elle détenait à interpréter les œuvres de poètes aux textes si puissants comme Claudel, Raimbaud, Beaudelaire, Victor Hugo, Péguy …


Les danseuses de Bharata Natyam
 

 

Avant le dîner Paulette Nevoux nous fit profiter de la contribution exceptionnelle et de grande qualité artistique d’un groupe de quatre danseuses de Bharata natyam de l’association amie Triloka

 

Enfin pour l’apéritif, un toast fut levé saluant les 45 ans d’Indra lui souhaitant encore de longues années au profit de nos chères brodeuses. Le dîner suivit, les filles se sont vues offrir des bracelets indiens, les garçons des foulards de même origine. Faute de feuilles de bananiers, Marie-Thérèse avait disposé de beaux sets de tables plastifiés de sa création, avec d’un côté des images de kolams issues de la collection des toiles, de l’autre la marque des 45 ans. Chacun put emporter son set.

Pour clôturer la fête qui se termina vers les 23 heures, le gâteau d’anniversaire était bien là, lui aussi.

 

N’ayant pas de réseau dans cette salle en sous sol, ce n’est hélas que plus tard que Pierre Lemaitre put lire le très aimable message d’amitié de Monsieur Gérard, le Directeur de l’Atelier à Pondichéry, et l’en remercier chaleureusement. Voir le message de M. Gérard

 

Hommage à Marie-Rose

François Casimir et Dominique Ulrich rendent hommage à Marie-Rose Carlié

Pablo et la toile faite d'après son dessin.
Pablo admire la toile réalisée d'après son dessin. il l'a appelée : "Le village des bonnes couleurs"

Le gâteau d'anniversaire des 45 ans

Je voudrais vous dire quelques mots de Marie-Rose Carlié, la dernière des créateurs de l’Atelier, décédée la veille du douze avril dernier.

 

Bien sûr elle nous manque et nous sommes dans la peine et malheureux de sa disparition, mais ne restons pas tristes, car Marie-Rose n’est pas partie. Même si elle n’est plus à nos côtés, elle ne nous a pas quittés, car elle restera toujours dans nos pensées et notre cœur.

Pour ma part, j’ai été profondément marqué par notre rencontre sur au moins cinq plans. Prenons les cinq lettres de son nom, Marie :

 

M, comme une leçon de Modestie. Marie-Rose s’est éteinte paisiblement, en illustrant encore la simplicité dont elle avait toujours fait preuve. Nous étions ainsi nombreux à ignorer tous ses succès et tous ses mérites.

 

A, comme une leçon d’Amour. Marie-Rose me manque. Nous nous voyions régulièrement. C’était une chance de la rencontrer, que bien d’entre nous à partageaient. Nous savons en effet combien il était important pour elle d’accueillir tous ceux qui la sollicitaient. Elle passait du temps à parler avec chacun et lui donnait le sentiment d’être unique. Je ne lui ai jamais entendu dire que des compliments. Elle partageait, ainsi, avec les autres, sa foi dans la providence et son bonheur.

 

R, comme une leçon de Reconnaissance et de Respect. Nous nous appelions souvent. Pourtant, contrairement à ce que pouvait supposer certains, elle avait à cœur de ne pas interférer avec les responsables qui lui ont succédé, à la tête de notre action, en particulier François Casimir. Elle ne me demandait jamais rien sur l’Atelier. Elle m’avait dit ainsi qu’elle ne voulait venir à nos Assemblées Générales qu’un moment, pour nous manifester son soutien, sans s’imposer. Elle était pourtant imprégnée de valeurs humanitaires. Sa présence à toutes nos expositions parisiennes, notamment à celle de Saint Maur, quelques jours avant son décès, a témoigné, avec force, de sa constance pour le maintien de notre action. Pour répondre à son souhait et m’assurer que nous étions bien dans l’esprit de ce qui a fondé, depuis 45 ans, le succès de notre action, je lui parlais pourtant de nos interrogations, de nos actions et de nos projets. Son intérêt s’épanouissait alors et éclairait son visage. C’est cette lumière que nous apportait Marie-Rose, qui est absente aujourd’hui.

 

I, comme une leçon d’Implication. Comment ne pas être influencés par la passion pour l’art de Marie-Rose et, en particulier pour la poésie, qu’elle nous a fait vivre dans ses spectacles. Cet intérêt pour la beauté n’est certainement pas sans rapport avec son attrait pour l’Inde du sud et le travail les brodeuses.

 

E, comme une leçon d’Engagement. Marie-Rose nous a légué sa foi dans l’homme, dans les effets bénéfiques de la solidarité et l’exemple de générosité qu’elle nous a donné, en créant une œuvre qui nous mobilise tous. Elle insistait sur l’importance du sérieux dans l’organisation de ce que l’on entreprend et de la constance, mais aussi de l’amitié et du soutien mutuel. Elle nous a montré que l’on avait besoin des autres et qu’il fallait savoir solliciter, avec tact, l’aide de ceux qui pouvaient soutenir la réalisation de ses projets.

 

Puissions-nous poursuivre, avec l’aide de tous, aussi longtemps qu’elle aura un sens, l’action que Marie-Rose a entreprise avec Nicole Durieux et leurs époux, Louis Fournier et Henri Durieux.

 

Pierre Lemaitre

 

Passés l’inscription, les nombreux mois d’attente entrecoupés d’une réunion préparatoire, voilà le groupe réuni autour de François à Roissy. Nous sommes tous inquiets tant le climat social est tendu ; l’attentat chez Charlie hebdo la veille, une prise d’otages le jour-même, et puis cette évacuation au moment des enregistrements, causée par un bagage suspect, les militaires et les policiers omniprésents… Inquiets et presque coupables de quitter cette France qui va mal pour nous envoler vers d’autres horizons .

Avec un peu de retard, l’avion décolle et nous oblige ainsi à lâcher-prise… Nous transitons par Delhi où la température est beaucoup plus clémente qu’à Paris, et avons déjà un petit aperçu de l’Inde. Puis nous repartons vers notre destination finale, Chennai, où Raju nous attend avec son équipe de chauffeurs et les 6 véhicules. Il fait très chaud, la circulation très dense, le concert de klaxons, le brouhaha de cette marée humaine avec moyens de transports multiples et surprenants, nous subjuguent et nous enivrent ; Voilà, nous y sommes, c’est l’Inde du Sud, ce voyage dont nous rêvions, et nous savons que dès le lendemain matin nous allons nous arrêter saluer les brodeuses à l’Atelier.

 

C’est avant tout pour elles que nous sommes là et nous avons hâte de découvrir cet endroit et toutes ces personnes pour lesquelles nous organisons des expositions en France. François nous en a tant parlé et nous avons senti tellement d’émotions dans sa voix quand il décrivait Pondichéry, le Tamil Nadu et toutes ses traditions ancestrales. Il ne nous a pas menti, tout y est...et l’accueil que nous réserve les brodeuses en saris chatoyants, avec leurs fleurs, chants français et prières universelles (en Inde les différentes religions cohabitent aisément), nous bouleverse. Nous repartons, les yeux humides, un peu frustrés de cette courte entrevue, mais en sachant que nous passerons plusieurs jours avec elles au retour de notre périple de 3000 kms dans le Tamil Nadu, le Kerala et le Karnataka.

Nous réalisons au fil des jours à quel point François nous a magnifiquement organisé ce périple. Il se révéla être un guide hors du commun, traduisant même ce qui n’a pas été dit. Les visites au long des routes sont des plus variées, des superbes temples hindous aux lieux les plus insolites. Nous découvrons l’artisanat local dans toutes ses variétés ; la taille de pierre, la fabrication des bronzes, le tissage de la soie aux tons arc-en-ciel, des cotons aux couleurs lumineuses sans pareil, le filage et tressage des cordes en coco, les différentes étapes de fabrication de la mélasse, la cuisson des briques faites à la main… Nous découvrons également des cultures non pratiquées dans nos régions et sommes émerveillés devant la beauté des tonalités de verts des rizières, devant les jardins de thé et leurs vagues verdoyantes, les jardins d’épices de toutes sortes et leurs parfums délicats. Désormais, affairés dans notre cuisine, nous évoquerons les images des plantes qui produisent cardamome, curcuma, cannelle, muscade, poivre, et bien d’autres encore, et elles auront, sans aucun doute, une autre saveur.

 

 

 

 

Nous nous arrêtons au bord des routes pour déguster un jus de coco dans une noix verte décapitée avec dextérité devant nous, du jus de canne à sucre pressé, en direct, et mêlé de gingembre frais et de citron vert. Quel délice ! François, en nous faisant goûter toute la cuisine indienne, nous fait goûter à toute cette Inde qui est son berceau, partageant ainsi ses souvenirs d’enfant. Au fil des jours, nous avons l’impression de vivre dans les toiles que nous avons tant admirées, toiles que nous ne pourrons plus regarder comme avant, car désormais empreintes de vérité.

 

Avec émerveillement, nous assistons à la fête de Pongal et, en nous mêlant à toute cette jeunesse joyeuse

et accueillante, à toutes ces femmes revêtues de leurs plus beaux saris pour la circonstance, ces hommes en dhotis blancs et dorés, nous partageons leurs rites et ressentons leur ferveur. Nous sommes amusés par la promenade à dos d’éléphant, et celle tant attendue à bord de petits bateaux dans les "backwatters" où la vie au bord de l’eau est tout aussi intense qu’ailleurs. Tout y est pratiqué dans cette eau ; baignade des enfants, lavage de vaisselle ou de linge, élevage de canards et pêche avec des lignes improvisées qui n’ont rien à voir avec nos matériels sophistiqués ; une vie simple et efficace. L’occasion nous est donnée, également, d’admirer le savoir-faire des pêcheurs au carrelet sur le bord de mer de la côte ouest et bien évidemment les splendides couchers de soleil sur la plage de Cochin. Comme des enfants, nous sommes ravis de nous tremper dans cette eau tiède afin de nous rafraîchir tant il fait chaud, mais les pieds seulement, les vagues y étant trop dangereuses.

 

 

Tout au long de notre périple à travers des paysages très variés, de plaine, de petite montagne, de bords de mer, de petits villages, de villes, nous constatons que les maisons sont aussi colorées que les saris, de la...

paillotte en toit de feuilles de palmier à la belle demeure. Mais nous constatons également que nos normes françaises, en matière de sécurité, sont loin d’être les normes indiennes, et notre regard d'européen est...

 

...souvent interloqué. Par contre, il est à noter que les plus beaux bâtiments neufs sont des collèges et des universités et l’on comprend bien que désormais, l’Inde a tout misé sur l’éducation de sa jeunesse pour s’en sortir.

Que dire encore de ce qui nous a marqué ; les visites dans les villages et les échanges avec leurs habitants ; les vaches peintes et ornées de fleurs au bord ou sur les routes ; les marchés débordants de couleurs avec 

de jolis tas de légumes élégants et savoureux, notre balade en bateaux ronds tressés enduits de goudron ; les kolams magnifiques décorant les trottoirs et dessinés par les femmes devant leurs maisons, chaque matin, à main levée avec de la poudre colorée, afin d'apporter la prospérité ; l’extrême habileté de nos chauffeurs à se frayer un passage dans cette circulation plus que dense où nos règles occidentales ne sont pas de mise et où chacun se pousse sans se toucher, où le plus imposant passe en priorité mais où les vaches sont sacrées et imposent leur tempo ; la pauvreté mais beaucoup de dignité ; et tout cela sous un soleil magnifique, une chaleur de 30° minimum et des fleurs éclatantes de couleurs et de beauté. Et n'oublions pas les jolies surprises que François a semé sur notre route pour la rendre encore plus attrayante, nos pique-niques en faisant partie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et puis nous voilà rentrés à Pondichéry, avec ce nouvel accueil à l’Atelier tout aussi touchant que le précédent. Le groupe de voyageurs visite toutes les pièces de l’Atelier avec les différentes étapes de création des toiles, des dessinatrices en passant par celles qui calquent les motifs sur les tissus, ceux-là même qui passeront ensuite aux mains habiles des brodeuses, sans oublier le personnel qui participe à l’approvisionnement des matériaux, l’organisation du secrétariat et l’apprentissage des nouvelles recrues  s’initiant à la broderie par applique, marque incontournable de cet atelier. Pour finir, nous visitons la garderie et l’accueil de ces bambins est bouleversant, jusqu’à ceux qui dorment paisiblement dans des saris-hamacs suspendus au plafond. Nous revenons le lendemain, après avoir visité le dispensaire du Dr Bala et la structure où il accueille des enfants handicapés, ces enfants qui nous ont préparé un petit spectacle très touchant. Le Dr Bala, malgré ses lourdes charges professionnelles, vient chaque jour à l’atelier veiller à la santé de « nos brodeuses », et c’est, sans aucun doute, un homme d’une exceptionnelle qualité emprunt de beaucoup d’humilité.

Ensuite, nous partageons un repas que nous offrons aux membres de tout l’Atelier dirigé bénévolement et paternellement par M. Gérard. Nous nous installons pour assister au spectacle organisé à notre intention,

nous, assis sur des chaises en plastique colorées et les brodeuses assises sur le sol du préau. C'est un moment magique et émouvant où l’on sent toute l’attente qu’elles ont à notre égard, de poursuivre la mise en œuvre des expositions en France, et toute leur reconnaissance de leur procurer le moyen de vivre décemment. Autant vous dire que nous sommes tous en larmes au moment des adieux, chantant et priant avec elles.

Le retour à Paris, harassés de fatigue mais remplis de magnifiques émotions et de couleurs, nous « rafraîchit» les idées brutalement. Il gèle, c’est l’hiver, et nous devons nous séparer et rejoindre nos vies respectives… Nous nous retrouverons, c’est promis… Un énorme merci à François pour la réalisation de ce beau rêve éveillé, secondé très efficacement par Raju, et merci également à nos chauffeurs attentionnés, pour avoir veillé sur nous jusqu'à nous prendre par la main lors des traversées de routes dangereuses. Il est magnifique et incroyable votre pays !  Nous allons faire tout notre possible pour continuer à faire vivre l’Atelier de Pondichéry!

 

 

MCLH